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lundi 29 novembre 2010

ALERTE POUR LA 1ere fois depuis sa nomination NORA BERRA s'adressera au pharmaciens d'officine

A l'occasion des rencontres annuelles de l'USPO le 02 décembre prochain à 09h00 précises, Madame NORA BERRA Secrétaire d'Etat à la Santé s'adressa pour la toute
1ère fois directement aux pharmaciens d'officine lors du discours d'ouverture.


Venez nombreux à l'Université PARIS DESCARTES
Faculté des Sciences Pharmaceutiques et Biologiques
Amphithéâtre Moissan
4 avenue de l'Observatoire
75006 PARIS

Ces rencontres sont gratuites.

jeudi 25 novembre 2010

Les rencontres de l’U.S.P.O

L'USPO organise ses rencontres ayant pour thème :

“PHARMACIEN D’OFFICINE : UN METIER D’AVENIR”

le jeudi 02 décembre 2010 de 9h00 à 13h00
à l'université Paris Descartes, Faculté des Sciences Pharmaceutiques et Biologiques, amphithéâtre Moissan, 4 avenue de l’Observatoire,75006 PARIS

Programme
1. Economie de l’officine
1.1. Les chiffres - Pascal VOISIN - I.M.S.
1.2. L’avenir de l’officine - Professeur Francis MEGERLIN
professeur à l'université Paris Descartes (Paris V).

2. Nouvelle organisation de l’offre pharmaceutique
Introduction - Jean Charles TELLIER - Président du Conseil Central A
2.1. Le 1er recours : Médication officinale et conseil pharmaceutique
• Les complémentaires santé : leurs visions
• Les pharmaciens : Pascal LOUIS du CNPGO
• Les syndicats
2.2. Nouvelles missions : évolution du métier, pharmacien et territoire
• Les patients
• Les médecins
• L’Assurance Maladie

3. Conclusions - Gilles BONNEFOND - Président Délégué USPO

Pré-inscrivez vous sur :
www.bonnefond-uspo.blogspot.com

Vous trouverez en cliquant ici le carton d'invitation

mercredi 3 novembre 2010

La grogne du jour....Franchise médicale : peu d’impact sur les patients ?

source : QUOTIPHARM.COM

Introduite en 2008, la franchise médicale de 50 centimes appliquée sur les boîtes de médicaments a eu peu d’effets sur le comportement des patients. Seulement 12 % d’entre eux indiquent qu’ils ont modifié leur comportement en terme d’achats de médicaments prescrits. C’est le constat dressé par l’Institut de recherche et de documentation en santé (IRDS), dans une étude parue hier. Les patients sensibles à la franchise sont souvent de condition modeste et se comptent parmi les personnes les plus consommatrices de médicaments. Les deux tiers d’entre eux ont décidé de n’acheter qu’une partie des médicaments prescrits, tandis que le tiers de ces patients repoussent l’achat de certains médicaments. L’étude de l’IRDS souligne que de toute façon, la marge de manœuvre du patient est faible, puisque c’est au praticien que revient de choisir la nature des soins et leur qualité. « De plus, à supposer que le patient puisse intervenir sur sa prescription, il est a priori dans l’incapacité de juger de l’utilité de son contenu », pointent les auteurs de l’étude.

COMMENTAIRES :
Si effectivement "seuls" 12% des des patients indiquent modifier leur comportement, avec un sous-entendu assez lourd sur la classe sociale touchée et la surconsommation médicamenteuse, la réalité du quotidien des associations qui aident les malades en situation de grande précarité démontre le contraire. Cette mesure touche de plein fouet les classes moyennes juste au dessus des minimums sociaux, qui par ailleurs sont les mêmes qui renoncent, pour les mêmes raisons à certains soins médicaux, comme les soins dentaires, entraînant de lentes mais inexorables dégradations qui coutent en plus chères à la collectivté. La franchise médicament, s'ajoutant à la franchise liée aux soins de supports comme le recours à certains soins comme ceux prodigués par les infirmiers à domicile, ou le fait que les dites franchises sont cumulatives et rétroactives par la CNAM ( pour les patients sous ALD les franchises sont cumulées et reportées sur le remboursement d'autres soins comme l'optique) peuvent agggraver des situations déjà difficiles et ajouter aux difficultés des dits patients jusqu'à les amener à des impasses sanitaires ...quand poserons nous la question de l'alternative que représente le bouclier sanitaire (le R.A.C. en fonction de son revenu ? ) permettant de conserver une véritable cohésion nationale et une véritable égalité des chances quant à l'accès aux soins ?