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mercredi 16 décembre 2009

DE L'IMPORTANCE DE L'OFFICINE DANS L' ACCES AUX SOINS




Venez nombreux ...le pharmacien d'officine devient essentiel dans l'accès aux soins, le parcours de soins coordonnés des patients, son implication future dans l'orientation médico-social des usagers, la prise en charge de proximité des patients, etc...autant d'axes ou l'industrie à un rôle à jouer...

mardi 8 décembre 2009

KOMODO vous INVITE pour découvrir HPST et le SERIOUS GAME

Comment utiliser les nouveaux médias pour la formation santé - mardi 19 janvier 2010




vendredi 4 décembre 2009

Le lien pour télécharger le rapport sur l'ETP à l'hopital https://www.box.net/shared/2m7xte91qg/f78d9c11ba/rss.xml

POINT SUR L'EDUCATION THERAPEUTIQUE A L'HOPITAL

Voivi un point particulièrement intéressant concernant le référencement des programmes d'Education Thérapeutiques Personnalisés orchestrés par les établissements hospitaliers français...déjà 67 000 000 d'€ en 2007 consacrés à cet aspect....a lire (cf lien référencé)

jeudi 3 décembre 2009

Accès à l'assurance et à l'emprunt pour les ALD

COMMUNIQUE DE LA FFSA

Les sociétés d'assurances ont toujours eu la volonté de répondre aux demandes d’assurance de prêts, au titre des crédits immobiliers et professionnels pour les personnes présentant un risque aggravé de santé. C’est pourquoi la FFSA a signé la convention AERAS le 6 juillet 2006, engageant l’ensemble de ses membres à proposer un grand nombre de solutions pour élargir l'accès à l'assurance et à l'emprunt des personnes ayant ou ayant eu un problème grave de santé. Le premier semestre 2009, marqué par la crise de l’immobilier et la contraction des prêts, a vu les demandes d’assurance de prêts au titre des crédits immobiliers et professionnels baisser de 25 % par rapport à la même période en 2008. Plus de 1,6 million de dossiers ont tout de même été déposés, dont 11 % (soit plus de 173 000 dossiers) par des personnes présentant un risque aggravé de santé. Cette part est légèrement supérieure à celle de l’année 2008. La grande majorité de ces dossiers, soit 96 % d'entre eux (2 % de plus qu’en 2008), ont fait l’objet d’une proposition d’assurance couvrant au moins le risque de décès. Dans 2 % des cas seulement, les assureurs n’ont pu faire de proposition. Quant aux 2 % restants, ils constituent la part des demandes classées sans suite.
Chiffres du 1er semestre 2009
Données concernant les personnes présentant un risque aggravé de santé :
• La couverture décès était incluse dans 100 % des propositions faites par les assureurs. Dans 55 % des cas, cette proposition est faite aux conditions standard du contrat, dans 44 % avec une surprime et dans 1 % sans surprime mais avec exclusion ou limitation de garanties.
• La couverture PTIA (perte totale et irréversible d'autonomie) a été prise en compte dans 89 % des demandes : 42 % ont bénéficié d'une proposition aux conditions standard du contrat, 3 % avec une surprime et 44 % sans surprime mais avec exclusion ou limitation de garanties.
• La couverture “incapacité-invalidité” a été possible pour 76 % des demandes : dans 22 % des cas, cette proposition a été faite aux conditions standard du contrat, dans 3 % des cas avec une surprime et dans 51 % sans surprime mais avec exclusion ou limitation de garanties.

No comment....

mercredi 2 décembre 2009

LA FDA s'intéresse à l'information santé sur le WEB

Les acteurs de santé dont l'industrie participe à la 1ère conférence de bon usage des réseaux sociaux dans le cadre de l'information et de promotion de produits et services de santé....

mardi 1 décembre 2009

Participez au débat sur le systeme de santé organisé par le CISS

Une initiative qui donne la parole à l'uager du système de santé mais aussi au citoyen ....

Inutile de changer la politique économique et sociale du médicament

A noter : l'interview réalisée par ESPACE SOCIAL EUROPEEN (Ese) de Noël Renaudin n°917
du 27 novembre au 3 décembre 2009....

Quelques morceaux choisis....

"....Les Etats Unis savent désormais qu'ils doivent trouver de plus en plus d'argent public pour faire face au problème de généralisation de l'accès aux soins. La théorie qui voulait que la santé, bien dit "supérieur", trouve un financement sans limite est révolue. Quand des traitements lourds et chroniques coûtent 50000 € par an, voire davantage, on ne peut s'en remettre à la mutualisation volontaire via l'assurance, a fortiori à l'individu isolé. La société doit traiter le sujet ; le politique prend le dessus".

Commentaires personnels
1°) à propos de l'accès aux soins pour tous aux Etats Unis....ou pour le plus grand nombre...l'accès aux soins semble être considéré comme un coût élevé pour la collectivité...mais n'est ce pas au contraire le moyen de faire baisser les coûts par une politique d'achat qui pésera sur l'ensemble des systèmes de santé aux U.S.A. et par ricochet proposer une meilleure prise en charge de la population n'est il pas le moyen de pouvoir préserver le bon état de santé général ?

Dans cette analyse "l'accès aux soins" et "les coûts de prise en charge thérapeutique" sont confondus...mais un meilleur accès aux soins peut éviter le recours systématique à de straitements onéreux si la prévention fait partie intégrante de ce modèle...

2°) "le politique prend le dessus"...dans le cadre d'une prise en charge limitée dorénavant en France à 50000€ ....mais quid de l'avis du citoyen sur ce thème ? A ce que je sache le débat est égal à zéro sur ce point...c'est avant tout une mesure administrative, et même si celle çi est justifiée, l'usager du système de santé est tenu totalement à l'écart ...


A propos de l'automédication...."de mon point de vue (sic), l'enjeu des efforts accomplis en faveur de l'automédication, et nous en avons vu récemment d'importants, tient davantage au progrès du bon usage des médicaments qu'à des questions économiques....la croissance de l'automédication ne pourrait avoir d'impact sig,ificatif sur les dépenses collectives qu'au prix du déremboursement de classes entières de médicaments utiles, mais dont on pourrait estimer que le prix les rend accessibles aux personnes sans entraîner de renonciation aux soins. ...."

Commentaires personnels :

Fermer le ban...l'automédiaction actuellement commercialisée est donc considérée, stricto sensus, comme "inutile" (smr insuffisant)...mais quid de l'accès aux soins dans ce cas ? comment expliquer à une mère de famille que des produits qui sont pour elle utile dans son quotidien ne le sont plus et qu'en raison de choix économiques personnels elle doit y renoncer ?
Les laboratoires pharmaceutiques n'ont ils pas intérêt à légitimer leurs offres d'automédication en accompagnant les pharmaciens d'officine dans leur revendication de parler de médication officinale et de développer avec eux une prise en charge de 1er recours, non couverte par la collectivité mais par d'autres mécanismes qui permettent à la fois de conserver au bien portant ses droits, mais également dans certains cas d'identfier des potentielles dégradations de l'état de santé de leurs clients atteints de pathologies chroniques...?

L'imagination est de plus en plus nécessaire...